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Research

Manuscrits de Tombouctou

Découverts à Tombouctou au Mali, plus de 350 000 manuscrits anciens ont révélé l’incroyable richesse intellectuelle de l’Afrique de l’Ouest. Datant du XIIIe au XVIe siècle, ces textes traitent de science, de médecine, de philosophie et de mathématiques, prouvant que Tombouctou était un centre majeur de savoir bien avant l’époque coloniale.
Sauvegardés par les habitants face aux menaces de destruction, ces manuscrits témoignent de la profonde érudition africaine et remettent en lumière un patrimoine souvent oublié. Chez Black Ego, nous honorons ces trésors qui révèlent la vraie grandeur des civilisations africaines.

Obélisques d’Axoum (Ethiopie)

Découverts au début du XXe siècle, ces obélisques en granit datant du IVe siècle témoignent de la grandeur de l’Empire aksoumite, l’un des plus puissants d’Afrique antique. Hauts de plus de 20 mètres, ils marquent des tombes royales et symbolisent les avancées et complexités architecturales et culturelles de l’Afrique ancienne. Ces monuments soulignent le rôle de l’Éthiopie dans le commerce et la diffusion du christianisme en Afrique.

Tombeau de Toutankhamon

En 1922, l’archéologue Howard Carter découvrit le tombeau de Toutankhamon dans la Vallée des Rois en Égypte, resté intact pendant plus de 3 000 ans. À l’intérieur, plus de 5 000 artefacts furent retrouvés : des bijoux en or, des statues sacrées, des chars et le célèbre masque funéraire en or massif, symbole de l’Égypte antique.
Cette découverte a offert un aperçu unique des rituels funéraires et de la culture égyptienne, révélant l’importance des traditions africaines dans l’histoire mondiale. Le tombeau de Toutankhamon reste un emblème universel de la richesse culturelle de l’Afrique.

Cité de Grande-Zimbabwe

Redécouverte en 1871 par l’explorateur allemand Karl Mauch, la cité de Grande-Zimbabwe est l’un des plus grands sites archéologiques d’Afrique subsaharienne. Construite entre le XIe et le XVe siècle, elle révèle l’existence d’un puissant royaume africain ayant dominé le commerce de l’or et de l’ivoire. Ses murs de pierre sèche, bâtis sans mortier, démontrent l’ingéniosité des bâtisseurs shonas et réfutent les mythes coloniaux niant l’origine africaine de ce site.